Je recense les arbres fruitiers du quartier.
Pommiers, poiriers, cerisiers, pruniers… : certains appartiennent à des variétés anciennes et ont donc une valeur patrimoniale – à la fois culturelle, sociale et biologique – importante. En plus, quelques-uns résistent mieux aux parasites et maladies que certains cultivars plus récents, et leurs fruits ont souvent des saveurs incomparables, qui méritent d’être (re)découvertes.
Les identifier, les planter ou les greffer dans un verger conservatoire et les multiplier ensuite, cela évitera qu’ils disparaissent à jamais…